Dossier de Presse à télécharger, décembre 2007 : format word / format pdf

 

Extraits de presse :

Chorus n°60 Eté 2007 :

ENIKO SZILAGYI : L'EMOTION PURE

Qu'y a-t-il de plus beau qu'une âme qui s'offre en partage.
« Je chante d'abord avec mon âme, ensuite avec ma voix » dit cette exceptionnelle chanteuse comédienne venue
de l'est.
Ce qu'elle ne dit pas, c'est la profondeur des deux. C'est l'intensité de chacune au service de l'autre. On ne résiste
pas à Eniko Szilagyi. Aussitôt qu'elle chante, on est submergé par un tsunami.
D'un souffle, elle emporte son public là-haut sur les plus hauts sommets de l'émotion et de la dignité humaine,
tout là-haut, sur les ailes de son Aigle Noir. Car elle chante, elle sert, elle honore Barbara, Brel, Piaf, Weill et
son Klausenbourg natal.
Dès qu'elle entre en scène, même dans une simple salle de médiathèque nue et sans éclairage, à qui elle parvient
par sa seule présence à donner du lyrisme, Eniko Szilagyi prend le temps de regarder son public. Ces êtres à qui elle s'apprête à se livrer, à offrir corps et âme le meilleur d'elle-même.
Dès que sa voix jaillit, que son souffle s'élève pour envelopper l'espace, l'habiter tout entier, elle vous prend par
l'âme. Comme un amoureux vous prendrait par la main.
Eniko ne pleure pas. Elle coule de douleur. Elle n'est pas lumineuse. Elle irradie de lumière. Sa voix n'est pas
juste. Elle est criante de vérité. Elle n'est pas ample. Elle sculpte l'espace.
Eniko ne bouleverse pas. Elle foudroie en plein cœur. Elle n'est ni chanteuse ni comédienne. Elle est.
Eniko n'est pas femme. Elle est l'humanité.
Eniko Szilagyi honore l'humanité. C'est pour cela qu'on lui a remis la Légion d'honneur. Si quelqu'un cherche à
savoir ce qu'être digne de soi signifie, qu'il aille la voir sur scène. Qu'il se fasse ce cadeau.
Je souhaite à chaque être de cette terre de recevoir ce présent divin.
Eniko Szilagyi est divine au sens propre comme au figuré. Elle est au sommet de son art et de son être.
L'incarnation la plus sublime de la plus sublime vision de qui elle est. Une étoile de lumière, pétrie d'amour, de
chants et d'humanité. L'émotion pure dans sa plus vibrante, sa plus cosmique dimension.

Colline 18.03.2007


La Dépêche du Midi, Août 2005.


«A l'écoute de ce timbre de voix d'une incomparable beauté, comme à voir cette admirable interprète, qui, sur scène, s'offre à son public, c'est comme un frisson d'amour qui vous parcourt, une force émotionnelle qui vous étreint et vous emporte dans un tourbillon de chansons. Qu'elle chante Brel, Barbara, Piaf, Kurt Weill, Brecht, Eisler ou Maria Tanase, Enikö Szilagyi, cette artiste internationale née en Roumanie, d'origine hongroise, après avoir écumé les pays de l'Est, s'est mis dans la tête de conquérir Paris avec toute la passion qui caractérise cette belle artiste.
Artiste avec un A majuscule comme Amour, cet amour comme un hymne qu'elle chante si bien et qu'elle porte en elle. Enfin, ce qui ne gâte rien, en dehors de la scène, c'est une personne d'une grande sensibilité, une personne adorable.
Pour tout vous dire, c'est un amour de femme, qu'on se le chante!»

Jaques Roussel (radio - Fréquence Paris Plurielle - 2005)

« ...la voix cuivrée de Eniko Szilágyi, avec son léger accent et sa force contenue, sa présence de comédienne (Goldoni, Pirandello, Sartre, bientôt une trilogie de Marguerite Duras) rendent particulièrement poignante sa prestation.»
Bernard Merle, La Lettre des Amis de Barbara 15

«Je vous propose d'écouter une chanteuse hongroise. Cette chanteuse s'est établi un répertoire de chansons françaises, avec un peu de répertoire Piaf et pas mal de Barbara. Il y a eu beaucoup de récitals Barbara, ces derniers temps, beaucoup de récitals Ferré, peut-être un peu trop!... Mais quand ça vient de loin, c'est plus... je ne sais pas, c'est plus intéressant! ... Elle s'appelle Eniko Szilágyi. Elle chante Il me revient... Un joli hommage, quand même.»
Hélène Hazera, Chanson Boum, France Culture 21.01.2004.

«Eniko Szilágyi une artiste engagée dans la francophonie. Francophone, la comédienne parle hongrois, roumain, flamand, anglais et vante les mérites du multilinguisme car on se sent partout chez soi.»
Bérangère Petit, Institut Français Budapest

«Les performances artistiques de haut-niveau sont tellement rares actuellement qu'on ne peut pas laisser sans un mot la soirée de chansons d'Eniko Szilágyi.
… elle a une présence forte et passionnée, une voix travaillée et ses moyens d'expression sont simples et justes. Même si elle parle de grands thèmes sentimentaux: l'enfance, la déception, la patrie et l'amour, elle ne devient jamais pathétique ou fausse. Eniko Szilágyi a des richesses artistiques qu'elle traite avec économie et intelligence.»
Judith Pozderka, Journal de Hajdú-Bihar, 1999

«Eniko Szilágyi ne chante pas les dix-huit chansons françaises, mais elle les "injecte" dans les âmes. La comédienne transmet une telle sensibilité et richesse que même ceux qui ne connaissent pas la langue comprennent la signification qu'il s'agisse de l'enfance, de la déception, de la patrie ou de l'amour.»
Tibor Veress, Programme de Pest, 1999

«Eniko Szilágyi s'appuie sur la force inspiratrice de la musique et sur sa propre suggestivité. Son apparition est simple et élégante, son corps, sa mimique, ses gestes résonnent avec l'harmonie et la philosophie des chansons. Tout son être est pénétré par la musique et par le poème chanté.»
Katalin Metz, Hongrie d’aujourd’hui, 1999

«Eniko Szilágyi interprète ces chansons dans un merveilleux français et avec une grande force de conviction: chacune est un petit drame, qu’elle fait passer aussi a ceux qui ne comprennent pas la langue, car cette chanteuse est une actrice. Tragique. Ici, une actrice tragique chante avec une voix tragique, sans être triste pour autant. C’est peut-être plutôt une forme de sérénité, de résignation, un calme de déesse qui se dégage des chansons. De la pureté, même si la plupart des textes parlent de détresse, d’humiliation, voire d’infamie. Accompagnée d’un subtil jeu de piano, comme s’enveloppant de ses belles mains, elle occupe la scène avec la force d’une vraie femme, une voix claire, un esprit pur. Elle sait bien ce qu’elle fait, comme le savaient Piaf, Barbara et Brel. Ce n’est pas un déballage de romantisme. C’est un coup percutant.»
Ádám Nádasdy, Première, 2001

«Les amoureux de la chanson française peuvent ce soir faire connaissance avec une étoile itinérante. Eniko Szilágyi, hongroise, va interpréter des mélodies de E. Piaf, Barbara et Jacques Brel.
Eniko Szilágyi originaire de Roumanie, travaille à Budapest comme actrice, ou elle joue de nombreux rôles principaux dans les grands théâtres de Hongrie. Dans son pays d’origine, elle a joué dans plusieurs films. Elle habite Oostende et parle flamand.
Le maire Marcel Hendrickx, l’a rencontrée à l’occasion d’une exposition présentée par la ville de Gödöllo en Hongrie.
C’est là qu’Eniko a surpris en chantant en flamand ”Le plat pays”de J. Brel.
On peut vraiment la considérer comme surprenante, dans son interprétation des chansons françaises de Brel, Barbara et Piaf. Turnhout, peut devenir pour elle un grand pas en avant pour sa reconnaissance internationale.»
Turnhout, Belgique, 04.07.2003.

«“Les jours musicaux”de Turnhout eurent le vendredi soir dans leurs programme, la chanson française, avec toujours le dynamique et l’effervescent Gérard Lenorman, et le plus en plus connu, Freddy Birset.
Une inconnue sur l’affiche aurait été Eniko Szilágyi de Budapest. Une hongroise, qui chante Edith Piaf, Barbara, Jacques Brel???
Un grand risque pour les organisateurs, de la présenter sur la grande scène, seule avec son pianiste Peter Biro, devant un public de 5.000 spectateurs.
Mais, à partir du premier moment, elle a accroché le public, sans jamais le relâcher. Dans un profond silence, tout le monde l’écoute et la regarde, tout à ce que Eniko Szilágyi chante et interprète . Interpréter, ce n’est pas une surprise, car comme actrice, elle joue des rôles importants, dans plusieurs théâtres de Budapest, de Shakespeare à beaucoup d’autres grands auteurs.
Il parait qu’après Jacques Brel, personne n’a réussi à interpréter d’une façon si émouvante “Ne me quitte pas”. De plus, avec seulement cinq minutes de préparation, elle a réussi un splendide duo “La vie en rose” avec Freddy Birset.»
www.showbizzsite.be, 06.07.2003.


«Pour les uns c’est la retrouvaille, pour d’autres la découverte d’Eniko Szilágyi, dans les films repris durant les semaines passées sur les petits écrans : “Le secret de Bacchus” ou “Mlle Aurica”. Je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrer. Car, une parmi les plus spectaculaires actrices des années 80, a quitté le pays en juin 1989 pour s’établir en Belgique, et plus tard en Hongrie.
Je l’avais retrouvée deux jours plus tôt, comme chanteuse, dans un récital qui a eu lieu au Centre Culturel Hongrois de Bucarest. Émouvante surprise! Toujours aussi belle, habillée en noir comme son idole, la grande Barbara, l’artiste nous a transporté, avec une voix troublante dans le monde de celle-ci, d’Edith Piaf et de Jacques Brel. Sans jamais les imiter, “L’aigle noir’’ le nom de son récital d’après la chanson “L’aigle noir” de Barbara nous a figé sur place, fondu d’émotion.
Où et quand a-t-elle appris à chanter ?
- je lui ai posé la question après le spectacle. Elle n’a jamais pris des leçons, “je chante d’abord avec mon âme, après avec ma voix”.
Fait-elle encore du cinéma ? “ Non, depuis longtemps je fais seulement du théâtre.
Qui va écrire des rôles pour des mamans ?
Si les cinéastes roumains sont de nouveau installés sur les plateaux….Qui sait ……?’’»
M. Mihailescu – le journal ADEVARUL de Bucarest, 15.06.2002.



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